L’île Maurice est une destination paradisiaque avec son eau transparente, ses paysages multicolores, ses plages blanches et sa culture unique. Voici le top des lieux à visiter lors d’un voyage à Maurice pour apprécier la spectaculaire beauté de l’île :

Le lagon de Blue Bay

Pour un voyage au coeur de la mer, à la rencontre des couleurs des fonds marins, rien de tel qu’une escapade à Blue Bay ! Ce parc marin est l’endroit idéal pour faire du snorkeling et de la plongée, car le lagon offre une eau chaude, azur est transparente, parfaite pour aller à la rencontre des animaux marins. Des coraux de toutes les couleurs décorent le fond du lagon, lui donnant des allures de conte de fée. Le parc se visite aussi bien en bateau avec un parterre de verre, qui permet d’apprécier cet arc-en-ciel de couleurs et de vies. Et n’oubliez pas de profiter de sa plage paradisiaque avec son sable blanc fin et ses cocotiers !

La montagne du Morne Brabant

Dominant l’ile Maurice depuis une péninsule, la montagne du Morne Brabant, qui s’élève à 555m d’altitude, est un endroit incontournable de ce pays. Ancien sanctuaire des esclaves en fuite, elle est à la fois riche d’un point de vue historique et naturel. Prenez un guide pour grimper à son sommet et profiter d’une vue plongeante sur l’océan et ses îles. En plus, les plages qui l’entourent sont assez sauvages et très agréables pour la baignade ou le surf.

Les sept cascades

Les sept cascades, aussi appelées les chutes de Tamarind, sont d’une beauté exceptionnelle. C’est l’une des plus belles randonnées à faire à Maurice et si vous voulez faire une escapade en pleine nature, loin des plages bondées et du soleil brûlant, c’est là-bas qu’il faut se rendre. Sept cascades se jettent dans la rivière au milieu d’une végétation tropicale luxuriante, et, souvent, l’eau qui vient se mélanger aux rayons du soleil forme de sublimes arcs-en-ciel. A savoir, mieux vaut s’accompagner d’un guide pour cette promenade qui n’est pas facile, glissante et peu fléchée.

Les terres de Chamarel

Au sud-ouest de Maurice, Chamarel vient encore contraster avec le reste du paysage et apporter de la diversité dans ce spectacle de la nature. Ici, des roches volcaniques offrent un tableau unique dit des « sept couleurs » - des tons de  brun, orange et ocre qui scintillent au milieu de la verdure environnante. Une grande cascade à proximité ajoute une touche féerique à cette scène, que l’on croirait presque irréelle tant elle est belle !

Le Grand Bassin

Pour s’imprégner de la richesse culturelle de Maurice, rien de tel qu’un passage au Grand Bassin (ou Ganga talao). Ce lac naturel est l’endroit sacré le plus important de Maurice. Niché au sein du cratère d’un ancien volcan, le Grand Bassin attire de nombreux pèlerins hindous car on dit que c’est une résurgence du Gange. En plus de s’immerger dans cette culture et cette religion, on peut en profiter pour admirer la faune locale, qui comprend notamment de nombreux singes.

Le jardin des Pamplemousses

Aussi appelé le jardin botanique Sir Seewoosagur Ramgoolam, le jardin des Pamplemousses est un immense jardin coloré de 37 hectares où l’on peut apprécier les beautés de la nature du monde entier. Si vous voulez voyager à travers le monde en un coup d’oeil, c’est un endroit à ne pas rater. Ici, on retrouve aussi bien des cocotiers que des nénuphars d’Amazonie et des tallipots : bref, un joli mélange d’écosystèmes à découvrir avec les cinq sens.

L’île aux cerfs

Cet îlot inhabité à l’est de Maurice est un passage obligatoire. Très sauvage, bien que touristique, l’île aux Cerfs offre tout ce qu’il y a de plus beau de Maurice : des plages blanches, des cocotiers, une mer turquoise et une vraie ambiance de vacances.

La plage Belle Mare

Enfin, si vous voulez rester dans cette ambiance de vacances, prévoyez une journée sur la plage Belle Mare, sûrement la plus connue de Maurice et la préférée des locaux. Entourée d’hôtels de luxe qui proposent massages, excursions et piscines, la plage Belle Mare est typique des cartes postales de Maurice, avec son sable fin et chaud qui s’étend sur près d’1,5km.

Marion Biremon